Traduction des paroles d’une chanson pleine d’énergie et de rêve, depuis l’Uruguay, Martín Buscaglia, un artiste polyphonique avec beaucoup d’imagination, et surtout, très bon guitariste.
Pour ceux qui apprennent l’espagnol, en version bilingue!!!!
Je me rappelle cette nuit-là, j’ai rêve que j’étais mort. J’ai rêvé que j’étais mort, moi et mon ami de couleur, mon ami peau rouge, et moi. Dans les royaume des morts, le verger où la fleur pousse à l’envers, le port où t’attend peut-êt’, peut-êt’, peut-êt’, ton dernier amour. L’autre côté de la lumière, le côté d’à côté, le côté ailé, le côté gelé, le côté cru de la lumière, le côté Ludo de la croix. Tout le monde chuchotait tout le monde papotait, des pies papoteuses ne cessaient de parler, elles chuchotaient, elles papotaient, les pies papoteuses, des êtres en costume-cravate, la queue entre les pattes, des êtres en costume-cravate, la queue entre les pattes, gémissant, gémissant, gémissant : « Que deviendrai-je? Que ferai-je avec avec tout ce que je n’ai jamais donné ? Avec tout ce que j’ai caché de moi-même? ». Mais, heureusement, au milieu de toute cette mort, mon ami peau rouge et moi n’étions pas inquiets pour cette bande de cinglés, mais plutôt, pour assimiler que c’est la fin, faites-moi un signe en forme de bouteille de Jim Beam, Jim Beam, Jim beam… |
Recuerdo aquella noche,
soñé que estaba muerto, soñé que estaba muerto yo y mi amigo de color, mi amigo piel roja y yo. En el reino de los muertos, el huerto donde invertida crece la flor, el puerto en donde te espera, quizás, quizás, quizás, tu último amor. El otro lado de la luz, el lado de al lado, el lado alado, el lado helado, el lado crudo de la luz, el lado Ludo de la cuz. Todos cuchicheaba, todos parloteaban, urracas parlanchinas no paraban de hablar; cuchicheaban, parloteaban, urracas parlanchinas, seres de traje y corbata, con la cola entre las patas, seres de traje y corbata, con la cola entre las patas, gimiendo, gimiendo, gimiendo: “ ¿Qué será de mí? ¿Qué haré con todo lo que nunca di, todo lo que escondí de mí?”. Pero, por suerte, en el medio de aquella muerte, mi amigo piel roja y yo no estábamos preocupados, por lo de aquellos tarados, sino que, para asimilar que estamos en el fin, háganme una seña, en forma de botella de Jeam Beam, Jim Beam, Jim Beam… |
Et voilà deux autres chansons, de son travail plus récent: